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A l’occasion de la crise du Covid, la dette dans l’ensemble des pays de l’UE est passée en moyenne de 84% à 98% du PIB. En France, on s’approche des 120%. Et d’après une note économique rendue publique cette semaine, il pourrait falloir pas moins de 67 ans à la France pour “rembourser” cette “dette Covid”.

Dans un tel contexte, il est certain que le gouvernement issu des urnes en 2022, quel qu’il soit, sera très fortement contraint au niveau budgétaire et cherchera donc des marges de manœuvre. Celles-ci pourraient être trouvées du côté de l’immobilier, traditionnellement riche en “niches fiscales”.

La non-imposition des plus-values sur la revente de sa résidence principale, le statut de la Location Meublée Non Professionnelle (LMNP), ou encore – dans une moindre mesure – la défiscalisation dans l’immobilier neuf font régulièrement l’objet de rapports publics pointant les économies (pour l’Etat) qui résulteraient d’un coup de rabot fiscal.

Il peut donc être utile de “prendre date” en investissant dans les 12 mois qui nous séparent de l’élection présidentielle dans un projet correspondant à vos objectifs ainsi qu’à votre profil d’investisseur. Sans bien entendu se précipiter ! « Hâte-toi lentement » était la devise des Médicis. Elle pourrait, dans le contexte actuel, s’avérer une fois de plus pertinente.